Cette fonction permet de définir la structure des pièces à comptabiliser pour tous les modules.
Exemple: la comptabilisation d'une écriture de facture de vente ou d'achat, de dotation aux amortissements, de règlement, d'extourne automatique, etc.
Des pièces distinctes peuvent être générées dans les comptes de crédit et de débit définis pour la société source et la société cible dans la fonction Mappage comptes inter-sociétés.
Chaque module peut générer des écritures à la validation comptable grâce à un sous-programme standard, utilisant un code caractéristique de l'opération (par exemple, la validation de factures tiers client utilise le code BPCIN).
Les programmes applicatifs sont maîtres du code utilisé et de l'appel au sous-programme de génération.
Le paramétrage des pièces automatiques s'effectue en indiquant:
En version 140, il n'y a plus de paramétrage dédié pour les pièces comptables liées aux règlements. Elles sont devenues des pièces standards. Une notion complémentaire est définie : celle de groupe de pièces qui permet de définir un ensemble de pièces automatiques générées simultanément avec une description des écritures à lettrer.
Une écriture automatique est définie par les caractéristiques de :
Une définition de ligne peut donner lieu à la création d'un ensemble de lignes d'écriture. En effet, le types des lignes peut être unique, répétitive, ou sur table liée : les deux derniers cas provoquent potentiellement la création d'un ensemble de lignes.
Des lignes sont automatiquement regroupées si les critères suivants sont identiques :
Une pièce en devises se définit en indiquant la devise de l'écriture dans les champs de l'en-tête.
Pour déterminer les montants en devise de comptabilisation et de reporting, la gestion des cours de devises s'effectue de la façon suivante :
La définition d'une OD analytique est identique à celle d'une pièce générale, sauf qu'un type de pièce adapté est imposé et seulement les natures et les sections concernées sont renseignées (elles deviennent alors obligatoires).
Reportez-vous à la documentation de Mise en oeuvre
Cet écran permet de définir le mode de génération et les caractéristiques de l'en-tête de pièce comptable.
En cliquant sur le bouton [Lignes], un écran s'affiche pour définir les lignes d'écritures à générer.
Champs
Les champs suivants sont présents dans cet onglet :
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Fermer
Présentation
Cet écran permet de définir la structure de l'en-tête de l'écriture.
Une liste de tables liées à la table déclenchante est définie, ce qui permet d'utiliser des champs de ces tables dans les formules de calcul du tableau précédent.
Exemple : il est possible d'utiliser les informations liées à la fiche tiers (BPSUPPLIER) pour les pièces comptables liées à la facture.
La deuxième colonne de ce tableau permet de définir le champ de la table déclenchante dont la valeur définit l'enregistrement lié à lire ( il peut y avoir plusieurs choix possibles : dans le cas de la facture, cela peut être le tiers facturant ou le tiers payeur). Une fenêtre de sélection permet de connaître les champs possibles.
Des formules de calcul permettant de calculer la valeur des champs de l'en-tête de la pièce sont définies. Les formules de calcul présentes dans ce tableau doivent être du bon type (par exemple, les montants doivent être numériques, le code journal alphanumérique).
Ces formules de calcul peuvent être simplement des constantes dans les cas les plus simples (par exemple, le journal des ventes pourrait être constant et s'appeler VEN : dans ce cas, une formule de calcul "VEN" suffit pour définir le journal). Elle peuvent être plus compliquées et intégrer des champs extraits soit de la table déclenchante, soit de tables liées définies par le tableau des liens. Dans certains cas, une valeur par défaut est affectée à la zone si aucune formule de calcul n'a été définie.
Les champs les plus remarquables de cet en-tête sont les suivants :
Fermer
Champs
Les champs suivants sont présents dans cet onglet :
Sélection
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Ce champ de type menu local permet de définir le module ayant généré l'écriture. |
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La table définie dans ce champ
est la table dont le ou les enregistrements courants déclenchent le
schéma de comptabilisation. Par exemple, pour valider des factures
de vente, il s'agira de la table stockant les en-têtes de
facture. |
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Ce champ permet de savoir dans quelle table de la base de données se trouve le(s) enregistrement(s) maîtres par rapport au passage d'écriture. |
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Lorsque le schéma comptable est appelé pour traiter un ensemble de lignes de la table déclenchante, on peut au choix générer soit une pièce comptable par ligne, soit une seule pièce globale, selon la réponse donnée à cette question. Ce champ de type menu local peut prendre deux valeurs qui sont :
Pièce par ligneDans le premier cas, on génère une pièce comptable par enregistrement de la table déclenchante. Exemple : lorsqu'on génère des écritures comptables de facture. Pour chaque enregistrement du fichier des factures, une pièce comptable sera générée (l'enregistrement courant de la table au moment de l'appel définissant la facture qui doit être comptabilisée). GroupéeDans le deuxième cas, on parcourra un ensemble d'enregistrements de la table déclenchante. Cette table possède dans ce cas une clé principale en N parties et on parcourt l'ensemble des enregistrements avec les P premières parties de clé données (P<N). |
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Il est possible de générer plusieurs pièces en se basant sur un critère de rupture défini dans une table de détail liée à la table déclenchante. Ce champ permet d'indiquer le nom de la table sur laquelle la rupture doit être faite. La zone suivante indique de nom du champ du rupture. Les lignes d'une pièce de ce type sont forcément toutes des lignes de type Table liée, la table correspondante étant la table dans laquelle se trouve le critère d'éclatement. Exemple 1 :
Exemple 2 : Si vous souhaitez créer une pièce d'OD inter-devises différente par devise, vous devez paramétrer dans les rubriques Eclatement pièce le nom de la table PAYMENTD et le nom du champ devise (CURLIN). Le simple fait de réaliser ce paramétrage suffit à éclater les jeux de lignes créés dans des pièces différentes. Ce traitement peut fonctionner seulement si toutes les lignes de la pièce sont de type Table liée basées sur PAYMENTD. On ne saurait pas "couper" une ligne unique (sur quel critère déterminer le montant de chaque ligne ?). |
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Il est possible de générer plusieurs pièces en se basant sur un critère de rupture défini dans une table de détail liée à la table déclenchante. Ce champ précédent indique le nom de la table sur laquelle la rupture doit être faite. Cette zone indique de nom du champ sur lequel doit se faire rupture. |
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Il est possible de prendre la main à certains endroits dans le processus de comptabilisation par des appels à des sous-programmes. Le nom de l'action correspond au nom de l'étiquette définie dans le traitement qui sera exécuté lors de la génération de la pièce automatique. Il est possible d'intervenir à deux endroits dans le processus de comptabilisation :
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Tableau Liste tables liées
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On précise ici le nom des tables
devant être en ligne lors de la validation comptable des
pièces. |
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On définit ici le nom du champ de
la table principale dont la valeur permet de connaître la clé de la
table liée. Par exemple, dans le cas d'une facture, si on veut
avoir accès au client, il faut donner le champ qui permet de
connaître le code du client. Dans cet exemple, on a le choix entre
plusieurs codes (client facturé, payeur,
statistique...) |
Tableau Législations
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Ce champ précise si la pièce automatique est active pour chaque législation installée dans le dossier. |
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Bloc numéro 5
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Cette case permet, si elle est cochée, d'autoriser des montants négatifs dans une écriture. |
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Cette case permet, si elle est cochée, d'accepter le passage d'une écriture sur une période clôturée, en la passant à la première date non clôturée postérieure. |
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Ce champ est à renseigner pour les pièces automatiques de règlements définies dans un groupe de pièces. Il fait référence à une nomenclature interne. Les valeurs possibles sont :
Il permet de déclencher certains mécanismes automatiques (gestion des impayés, stockage des comptes de trésorerie intermédiaires). Sa valeur est notamment stockée dans la table PAYACCNUM, et est également exploitée pour définir les étapes qui apparaissent en saisie des règlements. |
Particularités
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La zone "Filtre" permet de définir le filtre effectué sur la table déclenchante. L'écriture est générée seulement si la valeur de l'expression est vérifiée. |
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La zone "Condition" permet de saisir une formule de type AFNC.PARAM("FRAVAT",[F:SIH]CPY)="2". Si un enregistrement n'est pas vérifié par la condition indiquée, il ne sera pris en compte. |
Tableau Formules
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L'évaluation de cette expression permet de renseigner la valeur du champ correspondant dans l'en-tête de pièce comptable qui va être générée par le schéma. |
Fermer
Fonctions accessibles par clic droit sur le tableau
Champs
Les champs suivants sont présents dans cet onglet :
Bloc numéro 1
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Bloc numéro 2
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Tableau Paramètres
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Fermer
Par défaut, les états suivants sont associés à la fonction :
GAUTACE : Pièces automatiques
Mais ceci peut être modifié par paramétrage.
Ce bouton permet d'accéder au paramétrage des lignes. |
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Les champs suivants sont présents dans la fenêtre ouverte par ce bouton : Bloc numéro 1
Bloc numéro 2
Fermer Ce bouton permet de copier une pièce automatique vers un autre dossier. Définition des lignes d'écriture (onglet Général)Champs Les champs suivants sont présents dans cette fenêtre : Tableau Législations
Tableau Référentiels
Tables
Tableau Tables liées
Type de ligne
Sections
Tableau Codes comptables
Fermer La définition des caractéristiques des lignes d'écriture se fait sur deux onglets dont l'affichage est déclenché par le bouton correspondant. On a la possibilité de sélectionner les différentes lignes à l'aide de la liste gauche, ou d'en créer de nouvelles. Ces lignes d'écritures sont caractérisées par un type, des conditions générales et une liste de formules permettant d'évaluer les différents champs des lignes. Le tableau des liensCe tableau permet de définir des tables dont le contenu doit être en ligne pour la détermination des caractéristiques de la ligne d'écriture. Les caractéristiques définies sont le nom de la table et le champ qui donne la valeur de la clé principale. Seules les tables directement liées soit à la table principale de la pièce automatique, soit à la table générale (pour les lignes de type Table liée) peuvent être sélectionnées. Le tableau des codes comptablesCe tableau permet de :
Un code comptable est un code alphanumérique présent sur les fiches de base du progiciel, qui permet d'influer sur les écritures générées à partir des informations de la fiche correspondante. La table des codes comptables est caractérisée par le type du code et le code alphanumérique défini pour l'utilisateur (par exemple, FRANCE, EXPORT dans le cas de codes liés à des clients, SERVICES, PRODUITS dans le cas de codes liés à des articles). Les types de codes comptables sont nombreux : Article, Client, Fournisseur, Commercial, Acheteur, Pièce, Société, Site, Devise, Taxe, Pied, Escompte, Banque, Règlement, Immo, etc. A un type donné, un ensemble de lignes de définition caractérisées par un intitulé est associé. Par exemple, Modificateur achat, Modificateur de vente, Modificateur d'immobilisation… dans le cas du type de code Article. Chacune de ces lignes permet de définir à la fois soit un compte général, soit une partie de compte général (les caractères non définis étant représentés par des x) et une nature analytique. Le paramétrage permettant de définir les lignes associées à un code comptable est défini dans une fonction dédiée. Lors de la génération automatique de pièces, la détermination du compte général s'effectue par des recherches successives des codes comptables dans l'ordre de déclaration, en cherchant à enseigner uniquement les portions de compte non encore déterminées. La nature analytique est recherchée successivement par parcours des codes comptables en s'arrêtant dès qu'une nature est définie. Exemple: Pour une ligne de vente, le code comptable est défini par l'expression "7xxxxxxx" et les éléments suivants sont présents dans le tableau des modificateurs :
le code comptable est déterminé par 6 passes successives :
Si la nature n'est pas définie par une formule, on recherche successivement dans:
le lien vers la table article restant défini par une ligne de code comptable. Liste des champs à remplir dans le tableau des codes comptables1. le type de code comptable et le numéro de la ligne où le compte et la nature sont recherchés (on en saisit le numéro, et l'intitulé s'affiche, la fenêtre de sélection faisant apparaître directement l'intitulé). 2. Une expression dont la valeur correspond à la clé de la table liée (article, client, fournisseur, etc.). 3. Une expression logique optionnelle. Si cette expression existe, le lien vers la table et l'application du code comptable sont effectifs si le résultat de l'évaluation de l'expression renvoie un résultat égal à vrai . Dans l'ensemble des expressions saisies, il est possible d'utiliser des champs extraits des tables en ligne:
Tableau des formulesCe tableau permet de définir des formules de calcul pour l'ensemble des champs de chaque ligne de la pièce comptable. Les formules de calcul doivent être du bon type (les montants doivent être numériques, le code du compte alphanumérique). Ces formules de calcul peuvent être des constantes dans les cas les plus simples. Elle peuvent être plus compliquées et intégrer des champs extraits des tables précédemment décrites, auxquelles les tables définies par le tableau des codes comptables sont ajoutées. Il est possible d'utiliser la variable indice si le type de ligne à générer est répétitive. Il existe un ensemble de variables à utiliser via la syntaxe V_XXXXX : ces variables sont alimentées par l'appel d'un sous-programme défini dans la fonction de paramétrage des variables. L'appel du sous-programme utilise le cas échéant des paramètres. Un clic droit permet, par le choix Paramètres, de définir les valeurs de ces paramètres, en précisant une expression pouvant utiliser des constantes, des opérateurs, des fonctions, et l'ensemble des champs des tables en ligne. L'éditeur de formule est disponible via un clic droit pour permettre de faciliter la construction des formules complexes. Les champs notables des lignes d'écritures sont:
Tableau des actionsCe tableau permet de définir, sur des événements techniques particuliers dans le processus de comptabilisation, des appels à des sous-programmes. Ces sous-programmes, identifiés par le nom de l'étiquette et le nom du traitement, sont fournis en standard. Il est conseillé de ne pas les modifier. Il est possible, dans le cadre de certaines traitements spécifiques, d'écrire de nouveaux traitements associés à ces actions. Les événements techniques existants sont les suivants : Action avant création ligneElle permet de définir deux critères, CRITIMP et CRITMTC, en fonction de champs de la table principale d'abréviation TB0 ou de la table secondaire d'abréviation [TB1]). Ces critères permettent, dans la gestion des écritures liées aux règlements, de regrouper ou non les lignes. Cette action est utilisée en standard avec les valeurs suivantes :
Action après création ligneElle est utilisée dans la gestion des écritures liées aux règlements. Cette action est utilisée en standard avec les valeurs suivantes :
Action de lienElle permet d'appeler un sous-programme de lecture d'informations liées de façon non standard (elle se place au niveau de chaque ligne). |
Outre les messages génériques, les messages d'erreur suivants peuvent apparaître lors de la saisie :
La syntaxe de l'expression adonix saisie n'est pas correcte (par exemple, le nombre d'arguments d'une fonction n'est pas bon, ou bien il manque une parenthèse). Il est à noter qu'il est impossible de détecter des erreurs plus complexes sur des expressions (par exemple, division par zéro, variable inexistante…). Ces erreurs seront détectées lors de la génération des écritures, on en retrouvera une liste exhaustive plus loin.
Ceci signifie que l'on a essayé de faire un lien depuis la table déclenchante vers une table pour laquelle le dictionnaire ne connaît pas de lien (par exemple, lier l'en-tête de facture avec la table des articles).
Ceci arrive aussi si la zone de lien est incorrecte (lorsqu'on a saisi la table à lier, on peut choisir les zones de lien possibles par une fenêtre de sélection)
Ce message est affiché si le numéro d'indice utilisé pour un code comptable n'existe pas (par exemple, si on tente d'utiliser l'indice no 4 pour un code comptable Acheteur).
Les erreurs signalées ci-dessous peuvent arriver lors de la génération des écritures (en validation comptable de facture, par exemple). La plupart de ces erreurs ont pour origine un paramétrage imparfait. Certaines se produisent si des opérations de maintenance ont altéré des données.
Le code de paramétrage appelé par l'opération de génération n'existe pas.
La table déclenchante n'est pas accessible au moment de la génération.
La table déclenchante n'existe pas.
Le nombre d'éléments de clés de la table principale ne correspond pas au nombre attendu.
La valeur de clé correspondant à l'enregistrement courant de la table principale n'existe plus ou ne répond pas aux conditions de génération.
La table secondaire XXX donnée dans les paramètres de génération d'une ligne n'existe pas.
La table analytique XXX donnée dans les paramètres de génération d'une ligne n'existe pas.
(suivi du message d'erreur)
Lors de l'évaluation de la zone ZZZ en cours de génération de pièce, l'erreur correspondant au message qui suit est arrivée. Cette erreur peut être quelconque (variable inexistante, division par zéro…)
Le lien sur la table XXX liée à l'en-tête n'a pas pu se faire (par exemple, dans le cas d'une facture, si XXX est BPC, le code Tiers facturé n'existe pas).
Ceci signifie que l'on a référencé un code comptable inexistant ou un numéro de ligne inexistant (le no nnn) pour un code comptable donné (par exemple, le code no 12 pour le code comptable article).
Le compteur attaché au type de pièce à générer n'existe pas.
La plage de numéros attribuée pour le type de pièce à générer a été dépassé.
La zone site fait référence à un code site inexistant après évaluation.
La zone société fait référence à un code société inexistant après évaluation.
Le cours de devise correspondant aux paramètres donnés n'a pas pu être trouvé.
Le type de pièce ttt est inexistant.
La transaction n'a pas pu se faire (un autre message d'erreur est apparu en principe).
On a tenté de créer une pièce comptable avec un numéro de pièce correspondant à une pièce déjà existante en comptabilité.
On a tenté de créer une pièce comptable avec un numéro de pièce déjà attribué à une pièce temporaire.
On a tenté de générer une pièce comptable sans lignes.
On a tenté de générer une pièce comptable déséquilibrée.
On a tenté de créer une ventilation analytique déséquilibrée (en montant).
On a tenté de créer une ventilation analytique déséquilibrée (en quantité).
On a tenté de passer une écriture sur un compte inexistant (ceci ne peut arriver que si on a désactivé le paramètre permettant la création automatique des comptes inexistants).
Ce type de message peut arriver lors des phases de contrôle avant le passage d'écriture. Les messages peuvent être très variés, XXX étant le code de la table et xxxxxxx la clé sur laquelle se produit l'erreur. Par exemple, si le site et la société paramétrés sont incohérents entre eux, on peut avoir un message du type suivant :
FCY AAA : Ce site est dans la société ZZZ
(ici, FCY est l'abréviation de la table des sites, et AAA le code du site correspondant)